Le-Maroc-_trAnsition_ecologique.jpg))

Ceci dit, les institutions internationales s’accoudent face à un problème qu’elles ne sauraient gérer de manière séparée. Ainsi, pourrait-on donner comme exemple les activités de la Commission Européenne qui ne se limitent pas seulement dans le sillage européen, d’où la déclaration du chef d’unité chargé de l’énergie durable et du changement climatique à ladite commission dans le cadre du VIIIe Sommet Africités. Lors d’un rendez-vous panafricains des autorités territoriales et locales, il affirme que "les avancées réalisées par le Maroc dans le domaine de la transition écologique doivent être montrées en exemple pour que les autres pays s'en inspirent". L’exemple du Maroc dans cette transition écologique relève du fait de son investissement sans contestation dans un monde où le changement climatique, la déforestation, la dissémination anarchique d’espèces de toutes sortes demeurent les maux de tout une planète qui se trouve impuissante face à ces grands défis. Il devient alors nécessaire de créer ce qu’on appelle « COP » « Conférence Of the Parties » qui réunit les Etats souhaitant entériner des accords face à ce fléau mondial qui plombe bon nombre de secteurs d’activités. Tout d’abord, grâce à la COP22 organisée à Marrakech (Maroc) du 7 au 16 Novembre 2016, des initiatives fortes en matière d’énergies renouvelables et un bilan de 12 (douze) projets ont été érigés pour « sauver la planète ». En effet, « la moisson du brouillard » qui a reçu le prix de l’encouragement de l’ONU en 2016 de l’association Dar Si Ahmad, a pour but de procurer de l’eau potable aux normes de l’OMS et du Maroc ; insensé que ça puisse paraitre le brouillard est reconnu comme une ressource alternative à l’eau dans les zones désertes. Ensuite, la transformation des déchets grâce au soleil qui consiste à concentrer l’énergie solaire sur les déchets carbonés en utilisant une technique de micro-ondes qui transformera ces derniers en charbon. Mis en place par Imperium et PEPS, il vise dès à présent à fournir jusqu’à 50% des besoins en électricité de la ville de Marrakech. Pour ne pas citer que ceux-là, on a aussi la célèbre ferme en agriculture biologique, qui a pour défi de former des agriculteurs à la production écologique par l’association ValBioMaroc. A ce sujet, l’agriculture biologique sera développée afin d’atténuer les changements climatiques et la baisse des émissions de gaz à effet de serre. Enfin, le plus important de tous, la centrale solaire Noor qui aspire à devenir le plus grand parc thermo solaire du monde. Classée, 7e centrale solaire thermodynamique la plus grande au monde, elle se fixe comme objectif de fournir 42 % du courant électrique à partir de sources renouvelables en 2020.

	Par ailleurs, se comportant en bon élève, le Maroc a affiché une détermination considérable pour ne pas rater une phase cruciale de son développement  où plusieurs autres pays ont échoué.  Dans cette perspective, la Commission Européenne à travers son chargé de l’énergie durable et du changement climatique déclare être prêt à accompagner tous pays conscient de l’importance de l’écologie comme stipulée dans l’action Européenne en matière d’environnement.

Sources: https://www.touteleurope.eu/actualite/le-fonctionnement-de-la-politique-environnementale-europeenne.html http://www.2m.ma/fr/news/commission-europeenne-le-maroc-un-champion-en-matiere-de-transition-ecologique-20181120/ http://www.mapnews.ma/en/top-news/economy/morocco-champion-ecological-transition-european-commission http://europa.eu/rapid/press-release_IP-18-6313_en.htm