Euro-blogs - Mot-clé - élections2024-02-07T15:02:46+01:00urn:md5:b213e54b8781eaa382c99815b0c732e9DotclearL'extrême droite en Europeurn:md5:73c6dd66320a16c97606d451148966bd2024-01-05T17:11:00+01:00Arnaud Fauconpolitiques européennesExtrême DroiteFranceGiorgia MeloniItalieMarine Le Penélections
<p>L'élection du 22 novembre 2023 des Pays-Bas qui a vu être remporté par le parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders et donc la formation d'une coalition gouvernementale avec des parties de droites rajoute en Europe un parti d'extrême droite.</p> <p><a href="https://euro-blogs.eu/post/2024/01/05/L-extr%C3%AAme-droite-en-Europe">Lire la suite</a></p>
Une anti-avortement à la Présidence du Parlement européenurn:md5:1cf012a6475d0a55b072ad8412182ccd2021-12-20T21:30:00+01:00Juliette Boyeractualités européennesMalteparlement européenPrésidence du Parlement européenRoberta Metsolaélections
<p>Le 18 janvier 2022 devra être élu le nouveau président du Parlement européen. Un nouveau Président ou une nouvelle Présidente, car c’est Roberta Metsola, députée maltaise du groupe conservateur du Parti Populaire Européen (PPE) et militante anti-avortement qui est la favorite pour obtenir ce titre.</p>
<p><img src="https://euro-blogs.eu/public/Juliette_B/Image_Roberta_Metsola.jpg" alt="Image_Roberta_Metsola.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="Image_Roberta_Metsola.jpg, déc. 2021" />
<em>Credit: FB.com/Roberta Metsola</em></p> <p><a href="https://euro-blogs.eu/post/2021/12/20/Une-anti-avortement-%C3%A0-la-Pr%C3%A9sidence-du-Parlement-europ%C3%A9en">Lire la suite</a></p>
Amiens élue Capitale européenne de la jeunesseurn:md5:3af9646c8910adba8e4c4859448041e32020-01-05T19:35:00+01:00Laura Delsolactualités européennesEmmanuel MacronEuropejeunesseélections
<p>Pour la première fois depuis la création en 2009 du titre de « Capitale européenne de la jeunesse », c’est une ville française qui a été élue à l’unanimité par le jury. Cette récompense a été initiée par le Forum européen pour la jeunesse, qui est une organisation internationale située à Bruxelles permettant de représenter les intérêts des jeunes dans toute l’Europe. Ce titre est décerné dans le but d’inviter les villes à repenser leurs engagements par rapport à la jeunesse tout en renforçant l’idée de citoyenneté européenne, parfois oubliée dans certains territoires. Cette récompense permet donc à la ville choisie d’organiser divers évènements liés à l’Europe tout en fédérant les initiatives des jeunes. De plus, cela lui permet notamment d’acquérir une plus grande visibilité internationale et de générer plus de coopération avec ses pays voisins.<br /><br /></p> <p><a href="https://euro-blogs.eu/post/2020/01/05/Amiens-%C3%A9lue-Capitale-europ%C3%A9enne-de-la-jeunesse">Lire la suite</a></p>
Brexit : l'Ecosse peut-elle réellement devenir indépendante ?urn:md5:0d3daf84c8c308bc5c9bdf3d7caa4ab12019-12-29T00:27:00+01:00Zoe Toureactualités européennesaccordBoris JohnsonbrexitEcosseindépendanceNicola SturgeonRoyaume-UniUnion européenneélections
<p>Les élections générales britanniques du 12 décembre 2019 ont donné lieu à une victoire écrasante du parti conservateur mené par Boris Johnson, et l'obtention de la majorité parlementaire la plus importante depuis 1987. Le parti, fervent défenseur du Brexit, est devenu de plus en plus impopulaire suite au mandat de David Cameron, qui a mis en place le référendum du Brexit auquel il était opposé, et dont la réputation s'est davantage entachée après les tentatives ratées de mise en oeuvre par Theresa May, censée finaliser le processus le 29 mars 2017.</p> <p><a href="https://euro-blogs.eu/post/2019/12/29/Brexit-%3A-l-Ecosse-peut-elle-r%C3%A9ellement-devenir-ind%C3%A9pendante">Lire la suite</a></p>
Retour sur l'exclusion de l’ambassadeur de l'Union Européenne en République Démocratique du Congourn:md5:fd0f9db5cc57aa355469522e6e4c0fee2019-01-07T12:37:00+01:00Guillaume Goussinpolitiques européennesdiplomatie européenneFederica MogheriniRépublique Démocratique du CongoSEAEélections
<p>Alors que nous sommes toujours dans l'attente du résultat des élections présidentielles en République Démocratique du Congo, il est intéressant de revenir sur un fait qui a beaucoup fait réagir ces derniers jours. En effet, en cette période cruciale pour la République Démocratique du Congo, le gouvernement actuel a décidé d'expulser l'ambassadeur de l'Union Européenne en RDC, Bart Ouvry.</p> <p><a href="https://euro-blogs.eu/post/2019/01/07/Retour-sur-l-exclusion-de-l%E2%80%99ambassadeur-de-l-Union-Europ%C3%A9enne-en-R%C3%A9publique-D%C3%A9mocratique-du-Congo">Lire la suite</a></p>
Sanctions de l’UE à l’encontre d’officiels congolais : coup dur pour Kinshasa à la veille des élections présidentiellesurn:md5:44babd93906d3cdf2a7dbfd0c0dcab852018-12-12T16:17:00+01:00Elisa Guilloupolitiques européennesConseil de l UEKabilaKinshasaRépublique démocratique du Congosanctions européennesélections
<p><ins><em></em></ins>Le 10 décembre dernier, le Conseil de l’Union Européenne a décidé de renouveler les sanctions prises à l’encontre de plusieurs personnalités congolaises en décembre 2016, ces dernières étant considérées comme « responsables de violences » en République démocratique du Congo par le Conseil. Ce renouvellement intervient alors même que les élections présidentielles s’apprêtent à avoir lieu au Congo ; ce qui a conduit le Ministre des Affaires Étrangères et de l’Intégration Régionale, Léonard She Okitundu à dénoncer « un cas flagrant d’ingérence inacceptable dans le processus électoral congolais de la part de l’UE ».
<strong></strong></p> <p><a href="https://euro-blogs.eu/post/2018/12/12/Sanctions-de-l%E2%80%99UE-%C3%A0-l%E2%80%99encontre-d%E2%80%99officiels-congolais-%3A-coup-dur-pour-Kinshasa-%C3%A0-la-veille-des-%C3%A9lections-pr%C3%A9sidentielles">Lire la suite</a></p>
La montée du populisme au sein de l'Union Européenne: synonyme de victoire du Front National ?urn:md5:dfad4a4e89dcf96ec09c4ec3faab065c2017-01-04T23:24:00+01:00Anne Sophie Da Cruz Matiaspolitiques européennesBrexitfranceFront NationalMarine Le Penpopulismeélections
<p>La fin de l’année 2016 a été éprouvante pour l’Union Européenne. En effet, en à peine six mois, elle a subi plusieurs coups durs : le premier s’est déroulé en Juin, quand le Royaume-Uni affirme vouloir quitter l’Union Européenne. Ensuite, en Novembre 2016, Donald Trump, candidat républicain aux idées quelque peu extrémistes, est élu 45ème président des États-Unis. Le 4 Décembre, l’Italie disait non à une limitation des pouvoirs du Sénat, plongeant encore plus le pays dans l’instabilité politique régnant depuis plus de 70 ans. Le même jour, en Autriche, le candidat d’extrême droite Norbert Hofer (Parti de la Liberté) n’est pas élu de justesse laissant l’écologiste Alexander Van Der Bellen au pouvoir. Tous ces évènements sont considérés en quelque sorte comme des soulèvements populistes.</p> <p><a href="https://euro-blogs.eu/post/2017/01/04/La-mont%C3%A9e-du-populisme-au-sein-de-l-Union-Europ%C3%A9enne%3A-synonyme-de-victoire-du-Front-National">Lire la suite</a></p>
Les élections en Grèce – pourquoi Europe s’inquiète ?urn:md5:ec9e67b1b2a2bea7679f8fc709af23fd2015-01-25T17:46:00+01:00Rositsa Yanchevapolitiques européennesAlexis TsiprasAngela MerkelGrèceSyrizaélections
<p>Un évènement de l’actualité européenne a resté plus ou moins inaperçu à la fin de 2014. Ce qui vous a peut-être échappé, c’est le fait que les députés grecs ont échoué à élire un président, en précipitant ainsi des législatives anticipées le 25 janvier 2015. Ce qui est intéressant, c’est que ces législatives ne concernent pas seulement la Grèce, mais aussi toute l’Union européenne. Et on a senti à plusieurs reprises cette inquiétude dans les discours de Jean-Claude Juncker, Angela Merkel, Pierre Moscovici. Mais pourquoi cette préoccupation de la vie politique grecque au niveau européen ?<br /></p>
<p>D’abord car depuis deux ans on entend parler du Grexit. Et oui, encore un « exit », cette fois plutôt lié à la zone euro. Si le possible « Brexit » provenant du Royaume-Uni se traduit par une sortie totale de l’UE, la version grecque représente plutôt un rejet de la monnaie commune et le retour vers la drachme. Et même si Mme Merkel a annoncé son accord pour une sortie possible et acceptable de la zone euro, les financiers européens ne semblent pas être prêts à se séparer de la Grèce. Car, malgré les difficultés, elle reste un pays touristique, ayant une économie importante pour l’UE.<br /></p>
<p>La Grèce, un des pays européens les plus touchés par la crise, a bénéficié d’une aide gigantesque d'une valeur de 240 milliards d'euros. Pour faire bouger cette économie, la célèbre Troïka (Commission européenne, FMI et BCE) a imposé certaines mesures d’austérité pour aide le pays à sortir plus efficacement et rapidement de l'état de crise. Et même si depuis 2008 on voit des résultats plutôt positifs, le côté social du problème est rarement traité. Avec des licenciements dans le secteur public, la hausse des impôts et d’autres mesures économiques pareilles, la Grèce a été poussée vers une crise sociale très forte qui se traduit par un taux de chômage chez les jeunes à presque 50% (et à 25.7% pour la population entière) ou une dette publique de 175% du PIB (moyenne pour l’UE - 87%, selon des données 2013).<br /></p>
<p>C’est la raison pour laquelle le succès d’un parti comme Syriza, qui promet une révision de mesures, ne surprend pas. Les citoyens grecs, qui connaissent surement très bien cette Troïka et les mesures imposées à leur pays, sont au bout de leurs forces et l’espoir venant du plan de Syriza semble le meilleur choix pour un meilleur avenir, même si la croissance économique restera du côté. Le parti Syriza, considéré comme la gauche radicale du pays, n’est pas du tout aimé par les leaders européens. Car il propose une alternative qui n’est pas accordée avec les autorités européennes ou parce qu’il menace l’unité de la communauté avec des échos possibles à d‘autres coins de l’Europe. Le Monde fait un bref résumé de ses propositions : <br /></p>
<p>1. un moratoire sur les dettes privées aux banques ;<br />
3. l'annulation de près des deux tiers de la dette publique ;<br />
4. l'instauration d'une « clause de développement » ; <br />
5. la recapitalisation des banques, sans que les sommes en question soient comptabilisées dans la dette publique du pays.<br /></p>
<p>Une question qui se pose logiquement : pourquoi cela inquiète les marchés et les instances européennes? Pourquoi M. Juncker veut voir ‘’les visages connus’’ et M. Moscovici exprime clairement ses préférences envers les partis du gouvernement actuel - la Nouvelle Démocratie (droite conservatrice) et le Pasok (socialiste)?<br /></p>
<p>Le succès considérable de Syriza aux législatives en 2012 et aux élections européennes de mai 2014 sera-t-il répété en fin janvier? Des élections importantes pour «le maintien du pays dans l'Europe», selon le Premier Ministre actuel Antonis Samaras mais c’est surtout un moment clé pour tous les grecs et pour le futur d’un pays souverain européen. Un fait rappelé par le leader de Syriza, Alexis Tsipras, selon lequel “ Mme Merkel doit comprendre qu'elle est un partenaire comme les autres (...) dans une eurozone sans locataire ni propriétaire.”<br /></p>
<p>Sources:<br /></p>
<p>http://www.bbc.com/news/world-europe-30635821 <br />
http://www.20minutes.fr/economie/1507846-grece-le-maintien-pays-europe-enjeu-elections-legislatives <br />
http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/12/29/qu-est-ce-que-syriza-le-parti-anti-austerite-qui-progresse-en-grece_4547085_3214.html <br />
http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/dec/29/syriza-greece-austerity-eu <br />
http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2015/01/gr%C3%A8ce-syriza-une-gauche-radicale-en-voie-de-normalisation.html <br /></p> Un moment historique pour l’Asie Centrale (Myriam Serres, Farida Goutal)urn:md5:afd577010cb9d518a9f9bc4571ca30b22011-11-03T19:54:00+01:00Myriam Serresprojets européensAtambayevbourrage d urnesex-URSSKirghistanKirghizsOuzbeksélections
<p>C’est un évènement dans l’histoire du Kirghizstan ! Une chose qui ne s’est jamais produite depuis la chute de l’ex-Urss dans un état d’Asie Centrale : des élections législatives démocratiques !</p>
<p>Le renversement du Président Bakiev en Avril se fait dans le sang, (87 morts). De nombreux affrontements ont lieux par la suite : entre partisans et opposants de l’ancien régime, ou encore entre Ouzbeks et Kirghizs. Ces élections vont-elles enfin amener un peu de paix et de tranquillité ? On l’espère. Et le conseil de l’Europe entend veiller au bon déroulement des évènements! Ces élections se feront selon les normes démocratiques ou bien elles ne seront pas validées. Une délégation de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe est désignée pour rencontrer les candidats et observer la conduite des opérations … Enfin des élections libres ! Qui plus est, on a pour la première fois une élection pluripartiste, les Kirghizes peuvent enfin voter pour le candidat qui leur ressemble !</p>
<p>Mais tout n’est pas gagné d’avance. On redoute les fraudes. On sait que dans le Sud, région pauvre et de tradition islamique, la population aura tendance à choisir le candidat en fonction de son origine ethnique plutôt qu’en fonction de son parti. Ces gens sont moins préparés à la démocratie que dans le Nord, plus industrialisé, plus riche, et plus ouvert aux influences européennes. Or, si on se base sur le nombre de voies, c’est le Sud qui va l’emporter selon David Gauzere, chercheur, qui s’exprime sur le site de Rue 68… Et puis, certes, le nombre de candidats est grand, mais ce spécialiste pense que ces candidats sont motivés par des ambitions personnelles et que leur objectif principal serait le retour à l’ordre.</p>
<p>Suspens. Enfin, le résultat tombe. C’est l’ancien premier ministre Almazbek Atambayev qui est élu, le représentant de la frange modéré des révolutionnaires. Il est soutenu par les élites du Nord en faveur de la démocratie. Après vérification, l’APCE (assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe) conclut que ces élections sont valides : « Le scrutin, qui s’est déroulé dans le calme et sans violence, a été dans l’ensemble jugé positivement par les observateurs ». Parfait.</p>
<p>Pourtant quelques zones d’ombres demeurent. La presse fait état de listes électorales incomplètes.
Le Monde assure que les opposants du candidat élu crient à la supercherie. On parle de bourrage d’urnes, d’achats de vote, de vote familial, etc. Même l’ACPE le reconnait et pourtant ces élections ont été validées. Pire, lorsque l’ACPE assure que chaque candidat a été libre de se présenter, on peut lire dans la presse (le 20minutes ou l’Express) que « Rosa Otounbaïeva, présidente par intérim, ne pouvait se présenter à l'élection ».</p>
<p>Comment expliquer alors que le résultat de cette élection soit approuvé par les autorités européennes ? Serait-ce parce que Almazbek Atambayev se dit favorable à une coopération avec le Conseil de l’Europe ? Serait-ce pour assurer au plus vite la stabilité dans une zone qui dispose, selon le Figaro, d’une base aérienne essentielle au déploiement des troupes étasuniennes en Afghanistan ? Probablement pas puisque l’ancien Premier Ministre souhaite faire fermer la base en 2014. De plus, il souhaiterait intégrer à terme l’Union eurasienne, et non l’Union européenne. Quel intérêt le Conseil de l’Europe aurait-il donc à approuver cette élection ?</p>
<p>http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/31624574
http://www.thefreelibrary.com/Prime+Minister+Atambaev+meets+with+PACE+delegation.-a0260040800
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/10/31/97001-20111031FILWWW00270-presidentielle-kirghize-victoire-du-pm.php
http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20111101-le-nouveau-president-kirghizistan-pourrait-revoir-politique-etrangere
http://assembly.coe.int/ASP/NewsManager/EMB_NewsManagerView.asp?ID=7095&L=2</p>