Dans les jours 26-27 le novembre à Bruxelles a eu lieu la séance du Conseil de l'Union européenne pour l’éducation, la jeunesse, la culture, pour débattre sur les standards de l’éducation et de l'enseignement professionnel et afin de soutenir ensemble meilleur développement de la culture.
Pendant la séance, le Conseil a accepté la conclusion en matière de compétence de lecture et la conclusion sur l’enseignement et la formation de la stratégie Europe 2020. De plus les ministres de l’éducation qui ont participé à la séance debattaient sur des qualifications et sur un statut de professeur dans un compte de moyens financiers limités.
Il y a quelques mois la Commission européenne a proposé le programme « Erasmus pour tous » qui a été aussi un sujet des débats au Conseil. Au début le nouveau programme a eu à réunir toutes les initiatives actuelles en matière d'enseignement, de formation, de jeunesse et de sport. La Commission a proposé l’augmentaion de la dépense d'environ 70 % par rapport au budget actuel, cela signifierait pour le nouveau programme de 19 milliards d'euros dans les années 2014-2020. Dans le cadre du programme même 5 million d'Européens – c’est à dire deux fois plus qu’actuellement – auraient des chances d'étudier à l'étrangèr.
A la fin du novembre la Commission de la culture et de l'éducation du Parlement européen a accepté le projet du nouveau programme au profit de l’éducation, de la jeunesse et du sport qui s’appelle YES Europe. YES c’est à dire Youth, Education and Sport sera un programme avec un budget de 18 milliards d'euros dans les années 2014-2020.
En Europe, on menait des entretiens sociaux en rapport avec des changements dans le programme d’éducation, la critique a aussi apparu. Les sceptiques rapprochent la centralisation inutile qui, au lieu de faciliter la gestion, provoque l’augmentation de la structure de gestion du programme concret, c’est à dire l’augmentation de la bureaucratie qui provoquera plus de difficulté dans l’accès au programme et en diminuera l’efficacité. D’aprés les sceptiques les fonds déconcentrés qui agissent dans le cadre des programmes séparés permettent une gestion plus facile. Les sceptiques ne supportent pas la mise de tous les programmes sous un seul nom, ils croient garder le nom original des programmes bien connus depuis des années.
D’autre côté la Commission s'efforce de modernisés les procédures administratives pour profiter le plus efficacement du budget pour les 7 années suivantes. L’augmentation des fonds pour le programme paraît très favorable. L’attribution des fonds pour aider financièrement les initiatives sportives semble aussi très favorable. Les membres de la Commission qu'on utilise les noms des programmes existants jusqu’à présent.
Janvier 2013 le programme sera voté.
Sources: http://www.eurodesk.pl/aktualnosci/yes-europe-zamiast-erasmusa-dla-wszystkich http://wiadomosci.ngo.pl/wiadomosci/730676.html http://www.consilium.europa.eu/ueDocs/cms_Data/docs/pressData/fr/educ/133922.pdf