En un coup de tonnerre politique, le président du Conseil européen, Charles Michel, crée l'événement en annonçant son départ prématuré de son poste de président du Conseil européen en juillet 2024, à seulement cinq mois des élections européennes. Sa décision de se présenter aux élections du Parlement européen et de quitter son poste avant la fin de son mandat soulève des questions cruciales quant à sa succession au Conseil européen et met en lumière les enjeux majeurs autour des top jobs européens. Alors que la course politique s'intensifie à Bruxelles avec l'imminence des européennes, le départ de Charles Michel laisse alors planer l'ombre de l'incertitude institutionnelle européenne, avec des répercussions potentielles sur la stabilité politique de l'Union européenne (UE).